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ACG.Art asbl Atelier de Création Graphique & Artistique

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10 janvier 2005

Bienvenue sur le site d'ACG.Art et de Moncell'Art asbl.

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10 janvier 2005

Ciné-club du 21 janvier 2005

The Navigators
de Ken Loach

Synopsis

Paul, Mick, Len et Gerry travaillent au dépôt de chemins de fer de Sheffield, dans le Yorkshire.
Ils s'occupent de l'entretien et de la signalisation des voies.

Malgré les difficultés quotidiennes, l'ambiance est bonne et tout le monde travaille main dans la main.

C'est Len, le plus âgé du groupe, qui dirige les opérations. Il a passé toute sa vie à travailler six jours par semaine sur les voies ferrées.
Gerry, délégué syndical, s'active à améliorer le quotidien des employés mais la direction n'est pas particulièrement coopérante.
 
C'est en arrivant un matin au dépôt que tous apprennent la privatisation des chemins de fer.

Interview

The Navigators est votre film le pIug léger et surtout depuis Raining Stones. L'humour étaìt-il contenu dans le scénario de Rob Dawber, ou est-ce votre touche personnelle ?

L'humour est contenu dans la situation. On ne peut pas faire ce film sans humour. Lorsque des gens travaillent en groupe, il se passe toujours des choses
drôles. Cela fait parie de ce qu'on gagne en bavaillant dans un environnement ou l'intégration fonctionne. On voit les mêmes personnes tous Ies jours, on en aime certaines, d'autres pas. Cela fait partie intégrante de la vie du travailleur.
Il y a forcément de l'humour dans cette vie-là. Et, quand on perd ce type de travail, on perd beaucoup plus qu'un salaire: on perd des liens sociaux, un contexte agréable, une identité...

(extrait de la revue POSITIF)

Biographie

"Vétéran" de la télévision et du cinéma anglais, Ken Loach est aujourd'hui un habitué des festivals internationaux et une référence pour la plupart des jeunes cinéastes d'Europe ou d'Amérique.
Il reste cependant farouchement campé sur son terrain, celui d'un cinéma de résistance, engagé et naturaliste, qui donne la part belle aux acteurs, qu'il choisit souvent non-professionnels.

Il étudie le droit à Oxford avant d'être lui-même comédien puis assistant metteur en scène au Northampton Repertory Theater.
A la télévision, il devient un des pionniers de la fiction réaliste avec Cars (1964), Cathy come home (1966) ou The big flame (1969). Entouré d'une poignée de francs-tireurs, il part à la découverte d'une "nouvelle grammaire" pour la télévision.


Depuis, il cherche inlassablement à capter le réel, dans un contexte politique et social en mouvement. "Les gens qui se battent ont toujours les pensées très claires, car ils ne cessent jamais de réfléchir à leur combat. Ils se posent toutes les questions et savent de quoi ils parlent. Ils défendent leur point de vue et, pour y arriver, trouvent les mots justes. Si vous prenez l'image d'un ouvrier le poing en l'air pour glorifier sa lutte, c'est tellement éloigné du quotidien des gens que personne ne peut s'identifier. Rien ne se passe. Les clichés, les généralités ne communiquent rien du tout. Par contre, montrer la volonté qu'ont les gens de trouver les mots justes pour décrire leur combat, pour progresser et se faire comprendre, ça, c'est émouvant. C'est l'essence même de la fiction : être précisément là où l'espoir se trouve."



9 janvier 2005

Ciné-club

Petit retour en arrière

En cette fin de mois de novembre 2004, le plus célèbre des cinéastes finlandais, Aki KAURISMAKI, est venu nous visiter, l'esprit gravé sur un DVD.
Ce soir là, il fit un « froid de canard ». Au fond de la salle des conférences du château de Monceau, Philippe SCIEUR, sociologue, professeur à la FUCaM, prenait des notes. Rudy DEVRIESE, un peu plus loin, participait pour la première fois à notre ciné-club, pressenti pour articuler au mieux nos débats de fin de séance.
Sur l'écran, les protagonistes de L'HOMME SANS PASSE de notre cinéaste venu du Grand Nord, n'eurent de braises que leur cœur pour nous réchauffer, leur vibrante humanité pour nous convaincre et nous toucher.

Lorsque la salle se ralluma, Emile BOUILLON, notre projectionniste, eut à cœur de donner la parole à Philippe SCIEUR, notre preneur de notes, notre invité au débat, la personne « ressources ».
L'exposé de Philippe sur le thème « la paupérisation au sein des grandes villes et les diverses mutations qu'elles subissent », nourri de chiffres et de constats, fut avant tout une mise en relief des exigences que requiert la discipline du métier de sociologue.
C'est dans le souci de répondre le plus objectivement aux questions périphériques du public, que Philippe et Emile mirent fin au débat.

La séance était levée, le bar ouvert...

Gageons que, pour THE NAVIGATORS de Ken LOACH, le vendredi 21 janvier 2005, Gérard GELMINI, Secrétaire Général de la C.G.S.P., secteur Cheminots, apportera de bonnes nouvelles à tout amateur de voyages en trains.
Très bon cinéma, d'ici là.
Joël.





9 janvier 2005

Survol historique de Moncell'Art

Survol historique de Moncell'Art

-   Septembre 1996: projet d'une association d'artistes moncellois à l'initiative de Mr Claude BAEL,       rencontre des membres fondateurs: Jacques DELEU, Salvatore GUCCIARDO et Derry TURLA.
Novembre 1996: le projet d'une « Association des Artistes moncellois », est soutenu par  le député permanent Jean-Pierre DE CLERCQ et l ' Échevin Claude BAEL, à l'initiative de Mr. Jean-Pierre MALBURNY.
Décembre 1996:  « Moncell'Art » est née !  A l' invitation de Mr De CLERCQ, séance de travail au château de Monceau.
Janvier 1997: Première réunion des membres dans les locaux de l'école centre garçons.
Mai 1997: « Les Artistes de Moncell'Art s'exposent », première exposition d'ensemble dans les caves du château de Monceau. Invité: Paolo IORI, céramiste.
Septembre 1997: Ouverture d'un local dédié aux expositions et aux formations. Le premier atelier voit le jour. Exposition de travaux d'enfants basés sur une recherche autour du terril de Monceau-Hameau. Création de l'atelier  créatif enfants. Premières portes ouvertes.
Mai 1998: Deuxième exposition Moncell'Art. Invité: Calisto PERRETTI peintre.
Juin 1998: Deuxièmes portes ouvertes des ateliers.
Juin 1998: « Joli Travail des Artistes en Herbe »: Première exposition des l'atelier créatif pour enfants.
Août 1998: Exposition de quelques membres de Moncell'Art au Château de Trazegnies.
Mai 1999: Troisième exposition Moncell'Art. Invité: Charles SZYMKOWICZ peintre.
Juin 1999: Troisièmes « Portes Ouvertes » des ateliers.
Octobre 1999: Première exposition des ateliers au Centre Culturel de Mont-sur-Marchienne.
Mai 2000: Quatrième exposition Moncell'Art.
Juin 2000: De nouveaux locaux sont attribués aux ateliers, quatrièmes  portes ouvertes.
Septembre 2000: Première participation de Moncell'Art aux « Journées du Patrimoine », dans les caves du château de Monceau.
Novembre 2000: Deuxième exposition des ateliers sur  la péniche « Le Notger » à Thuin.
Février 2001: Premier ciné club dans la salle des conférences du château de Monceau.
Juin 2001: Cinquième exposition Moncell'Art: Invitée: Andrée SCHUMAKER, tapisserie.
Septembre 2001: Deuxième participation aux « Journées du Patrimoine ».
Novembre 2001: Troisième exposition des ateliers à l' « Espace Citoyen » de Marchienne-au-Pont.
Février 2002: Deuxième  ciné club.
Mai 2002: Sixième exposition Moncell'Art. Invité: Jean DELCOURT, sculpteur.
Septembre 2002: Troisième participation aux « Journées du Patrimoine ».
Mars 2003: Quatrième exposition des ateliers dans le hall d'honneur de la Maison Pour Associations de Marchienne-au-Pont.
Mai 2003: Septième exposition Moncell'Art. Invité: Bernard TIRTIAUX maître verrier et écrivain.
Septembre 2003: Quatrième participation aux « Journées du Patrimoine ».
Mai 2004: Huitième exposition Moncell'Art. Invité: Philippe-Henri COPPEE, peintre.
Novembre 2004: Cinquième exposition des ateliers, ET première exposition d'ensemble à la mpa, à Marchienne au Pont.

Ce présent résumé n'inclut pas d'autres manifestation occasionnelles telles que : les exposés, les ciné clubs et les voyages culturels. C'est dire de la profusion et la diversité de nos activités.


Derry
9 janvier 2005

Cycle ciné-club

  • Ciné-club au château de Monceau sur Sambre


    Cet automne/hiver, dès le 26 novembre, jusqu'au 18 février 2005, le Foyer Culturel Moncell'Art placera sur orbite son premier cycle/ciné-club, au château de Monceau/sur/Sambre.
Nous aurons une fois encore à défendre notre modeste place, en marge des salles commerciales du centre et du nord de la Ville.
    Voici déjà quatre ans, s'efforçant de proposer à son public un film d'auteur, un invité, et un débat, Moncell'Art créait son ciné-club.
Il conquit rapidement l'estime de quelques amateurs d'art et de salles obscures.  Mais hélas, peu nombreux.  Aussi, nous avons discuté avec Émile Bouillon, notre projectionniste, et nous nous sommes accordés pour vous présenter un vrai programme (3 films), susceptible de capter l'attention d'un plus large public, sans pour autant négliger la diffusion de films méconnus, ou n'ayant pas reçus le succès populaire qu'ils méritaient?

Notre ciné-club prendra-t-il l'aspect, les sons et les couleurs d'un petit événement local ?

Un ciné-club, pourrait-on dire, est un petit théâtre cinématographique.  Voici plus de 100 ans, le cinématographe naissait dans le sous-sol du Grand Café de Paris, où une jeune spectatrice l'appela la « moulinette à images ».  Un an auparavant, dès 1894, Charles Pathé faisait voyager la phonographie de foires en marchés.

Aussi, il est bon de rappeler, surtout aux plus jeunes, qu'un ciné-club est, par définition, un lieu, un cercle où l'on se réunit.  En matière de cinéma, le ciné-club favorise les rencontres autour de la projection d'un film, mais il nous situe davantage dans la rupture de nos habitudes de téléspectateurs et de clients assidus des salles à grand spectacle.
Pour mieux en saisir l'un des rôles (un ciné-club peut toujours se glisser là où on ne l'attend pas), songeons à la nostalgie des anciens hantée par les VARIA, ROXY, KURSAAL, etc, tandis que nos quartiers s'éteignent, pétris d'angoisse...

Enfin il est intéressant, voire essentiel, de savoir que la vie d'un ciné-club n'est pas directement liée au résultat des audiences (nous avons la chance d'être aidés par la Province de Hainaut).  Toutefois, un ciné-club a besoin d'un public de référence, un public stable, une sorte d'indicateur qui conforte les organisateurs dans leur choix des films.
C'est un peu, beaucoup, passionnément, et pour tout cela que notre ciné-club existe, cherchant sa voie hors des pistes trop fréquentées, et sa raison d'être jusqu'au cœur de nos palpitations secrètes que provoque notre plaisir de voir, de revoir?un film? juste une occasion, un moment, un peu différent.


                                                                Joël.
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9 janvier 2005

Exposition


Exposition Moncell'Art à la MPA


Que de monde ce cinq novembre 2004!!!  Que de monde au vernissage, ce vendredi soir. Impossible de se rendre compte de la qualité des travaux exposés. Il faudra que je revienne plus tard, ce que j'ai fait.

Il faut dire que c'est l'aboutissement de plusieurs mois de préparation, et de plusieurs années de travail, pour certains. Et on peut être fier du résultat.
Il est vrai, comme on me fait remarquer pendant l'exposition, que comparée à la précédente, celle-ci  est moins élitiste. C'est vrai. Mais je tiens à préciser, que si, lors de la dernière exposition, il y avait une petite trentaine d'exposants, tous plus ou moins confirmés, celle-ci ouvre la porte à tous les nouveaux élèves qui désirent exposer. Et des nouveaux, ce n'est pas cela qui manque. Sur soixante huit exposants, une bonne vingtaine n'a jamais accroché une oeuvre à une cimaise. Pire, certains, il y a seulement un an, n'ont même jamais imaginé que leur tour viendrait. Et c'est le but recherché. Ils doivent prendre conscience de leurs capacités, les exploiter. De toute façon, je crois qu'il est bon de comparer ainsi de visu, le travail sur plusieurs niveaux. Il faut pouvoir se dire que si d'autres sont parvenus à créer des oeuvres si personnelles et si abouties, ils y  arriveront aussi.

Concrètement, l'exposition est une réussite, et ce n'est pas de l'autosatisfaction. Objectivement, au regard des oeuvres exposées, de la diversité des techniques et des conceptions, la cohabitation est harmonieuse. On passe sans effort de l'aquarelle à l' huile, du dessin à l' acrylique, de la mosaïque au pastel et de la gravure au mono type. Du petit format à l' oeuvre aux dimensions plus conséquentes, tout est à regarder, à admirer. Que de patiente pour certains, que de spontanéité pour d'autres. De technique aboutie  pour d'aucun, de timide expression pour d'autres. Et derrière toutes ces oeuvres, derrière toutes ces surfaces peintes, dessinées, grattées, travaillées,...il y a un homme, un femme, qui pendant un instant se sont laissés aller dans l'expression de leur art, dévoilant ainsi à qui veut bien le comprendre, une partie de la face cachée d' eux-mêmes.

Et je n'ai pas encore évoqué l'exposition de l 'ateliers des enfants. Des oeuvres si vraies que beaucoup d'adultes peuvent et doivent s'en inspirer. C'est le travail spontané par excellence, sans arrière pensée bassement nombriliste. C'est plaisir de voir que d' aussi jeunes enfants font la démarche de produire des oeuvres qui demandent pourtant une certaine concentration et requièrent plus que de la volonté.

Merci. Merci à toutes et à tous d'avoir été les acteurs de cet événement, merci aux personnes qui m'ont aidé dans ce projet, merci à ceux qui nous ont reçus chez eux. J' espère avoir ainsi marqué la mémoire de certains. Tous les projets associatifs, sociaux, culturels ou humanistes devraient pouvoir atteindre de tels sommets. Ce n'est que justice...


Derry.


9 janvier 2005

Voeux du secrétaire de Moncell'Art


Voeux du secrétaire de Moncell'Art


    En ce début d' année 2005, nous avons préféré laisser à chacun le soin de se remémorer « son » événement 2004.
Dans ce monde de violences au quotidien (violences privées, sociales, ethniques,...), planifiées, banalisées, mises en colonnes ou en images, voici que s' égarent nos songes, mélancoliques, désenchantés.  Effacés ou indignés, nous sommes là, las, à contempler, jour après jour, heure après heure, le spectacle de notre propre perte... Mais qui peut encore nous montrer le chemin ?  Nous avertir de quelles noirceur, de quelle profondeur, sont les ténèbres que nous traversons ?  Ou de quelle joie sobre et lumineuse sommes-nous encore capables ?

    Pour une femme ou un homme d' espérance, tout nous relie les uns aux autres, comme l' étincelle crée la flamme, la flamme, la chaleur.
Or, certains, et non les moindres, aux intentions souvent peu louables, usent de nos différences pour que se dressent sabres et boucliers...

    Aussi, il y aura toujours peu de chemin entre la révolte et l' espoir, entre la solitude et le bonheur tout simple de la rencontre avec l' autre, un bonheur si simple qu' il en devient presque imperceptible, mais criant d' injustice pour celui ou/et celle qui reste seul au bord du chemin.
A Moncell' Art, nous devrions clamer notre Bonheur d' être bien au chaud les uns auprès des autres, exprimer au plus fort la joie de nous retrouver tous ensemble, lors d' une réunion ou lorsqu' une exposition nous appelle.  C' est vrai, il est souvent difficile d' accorder les violons, mais entre personnes de bonne volonté...
Ne bradons pas notre plaisir et notre chance de faire partie d' un bon groupe, qui fêtera ses 10 ans d' âge en 2006.

    En attendant, meilleurs voeux à tous, à votre famille, pour l' année nouvelle.


                        Pour le Conseil d' administration,

                                  Joël
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